Ethypik, une entreprise ESS dédiée au recrutement

L'histoire

Au début, ce sont des constats.

Bon nombre de personnes ont du talent mais ne trouvent pas d’emploi, faute de diplômes. Le recrutement dit « inclusif » n’est rarement mis en avant pour une autre raison que celle de l’étiquette. Le domaine du recrutement stagne, peine à innover, si ce n’est dans des logiciels qui retirent la dimension humaine de l’acte d’embauche. Les gens s’éloignent, au lieu de se rapprocher.

Ensuite, il y a une envie.

Celle de remettre la rencontre au cœur du recrutement. De partir de l’humain en prenant la technologie comme un lien. De faire plus que mettre en relation des candidats et des entreprises, mais d’accompagner les candidats afin de proposer aux entreprises des talents prêts à déployer leur savoir-être et leur savoir-faire.

Et enfin il y a de l’action.

Et c’est ainsi que les choses bougent. Un recrutement innovant, qui part du bon sens : l’humain, d’abord. Une entreprise de l’ESS à impact sociétal positif, qui n’a pas de label que le nom, et qui met ses actions au cœur de ses préoccupations. Qui n’est pas à contre-courant à tout prix mais qui lutte avant tout contre le chômage.

C’est ainsi qu’est née ETHYPIK dans l’esprit de son fondateur Nicolas Morby.

Nicolas Morby a passé plus de 14 ans dans la collecte de fonds pour des ONG. Au départ recruteur de donateurs, il a peu à peu acquis des responsabilités plus importantes : responsable d’équipe, recruteur, formateur des collaborateurs, il a été au cœur de la réflexion sur les dispositifs de collecte.

Dans ces expériences, il a toujours fait ce constat : même si les gens ont peu de moyens, cela ne les empêche pas de donner à des causes nobles. Et ce recrutement de donateurs, dans la rue, a toujours fonctionné.

Alors, il a eu l’idée de déployer ces actions de rue au monde du recrutement : si les gens peuvent donner, dans la rue, à des associations, ils pourront également y trouver un emploi. Ainsi a germé l’idée d’ETHYPIK.

Quand il recrutait des candidats, lui-même s’appuyait avant tout sur leurs soft skills. Car ce ne sont pas des diplômes qui font un bon recruteur de donateurs : ce sont l’enthousiasme, l’envie d’aller vers l’autre, les préoccupations sociales, la résistance physique, etc. Et pourquoi ces soft skills ne seraient-ils pas la base de tout recrutement, peu importe l’emploi ?

Convaincu que les entreprises ont un rôle à jouer dans la mutation sociétale que nous vivons, il les accompagne aujourd’hui, avec ETHYPIK, à penser leurs processus de recrutement sous l’angle de la rencontre et de l’humain.

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