Le savoir-être vaut mieux qu’un CV

Recruter sur des soft skills et révéler des talents

Que lisez-vous quand vous recevez un CV ?
Quel impact a une lettre de motivation ?
Est-ce que ces données « objectives » conditionnent le recrutement ou faites-vous confiance à votre ressenti lors des entretiens ?

Avez-vous déjà été déçu par le savoir-être d’un collaborateur alors qu’il semblait cocher toutes les cases lors de son recrutement ?

Nous pensons que le savoir-être et le savoir-faire doivent être la base de tout recrutement. Un CV peut mentir, un comportement jamais.

Quelle capacité à collaborer ? Quel esprit d’équipe ? Quelle gestion du temps ? Quelle capacité de prise de décision ? Quelle adaptabilité ? Car c’est tout cela qui définit vos collaborateurs et conditionne l’efficience d’un recrutement.

Et c’est la base de la méthodologie d’ETHYPIK, afin d’accompagner les entreprises à chaque étape de leur recrutement.

Les soft skills, qu’est-ce que c’est ?

Les soft skills sont des compétences comportementales : l’intelligence relationnelle, les capacités de communication, le caractère, les aptitudes interpersonnelles… Ce sont des qualités difficilement mesurables qui forgent le savoir-être des personnes.

On les oppose aux hard skills, ces compétences que l’on peut plus facilement mesurer : les diplômes, les compétences linguistiques, la maîtrise d’outils informatiques,…

Pour un poste, certains soft skills peuvent être nécessaires, primordiaux. Car avoir les bons diplômes est une chose, savoir travailler en équipe ou mener une réunion en est une autre. Et souvent, ce sont des compétences que l’on n’acquiert pas comme on obtient une certification. Cependant, ces compétences comportementales, une fois identifiées, peuvent être travaillées pour être approfondies.

L’exemple de Nicolas, fondateur d’ETHYPIK

Nicolas s’est formé dans une école de cinéma.
Le recrutement ? Il ne connaissait pas ! Cependant, ses soft skills l’ont mené vers d’autres horizons professionnels. Sensible aux causes humanitaires ou environnementales, dynamique et enthousiaste, il a mis son énergie au service des ONG. Son sens du contact et son esprit d’équipe l’ont fait gravir les échelons, de responsable de donateurs à responsable de programmes. Il a ensuite formé des recruteurs, des responsables d’équipes… Entre temps, il n’a pas eu davantage de diplômes mais a développé les compétences comportementales qu’il avait déjà en lui !

Comment se passe un recrutement via des soft skills chez ETHYPIK ?

Lorsque le candidat est abordé dans la rue, pour la première fois, une quinzaine de questions lui sont posées. Cela permet d’avoir une première idée du profil de compétences du candidat.

Ensuite, petit à petit, des questions et des mises en situation lui sont envoyées par mail. Ainsi, le profil des softs skills est affiné et le candidat le reçoit sous forme de pourcentages.

Ce profil est établi grâce à un logiciel que nous avons développé. Cependant, l’intervention humaine reste primordiale dans le recrutement. En effet, le logiciel est un outil qui permet au coach et au recruteur de travailler avec le candidat sur certains soft skills et de faire matcher un talent et un poste. L’humain, d’abord.

Il s’agit avant tout de mettre en valeur les candidats afin de trouver celui qui correspond le mieux à un emploi donné. En fonction du profil de poste recherché, les tests sont adaptés grâce à l’intervention de spécialistes en sciences cognitives. L’humain, toujours.

Les soft skills sont ainsi un moyen d’identification des bons candidats pour les bons postes. Ils constituent le socle du recrutement. Cependant, chez ETHYPIK nous avons fait le choix d’accompagner tous les candidats jusqu’à leur embauche, grâce au coaching. L’humain, encore.

Démocratiser le coaching, pour mettre en avant les talents des candidats

Les soft skills sont des compétences comportementales : l’intelligence relationnelle, les capacités de communication, le caractère, les aptitudes interpersonnelles… Ce sont des qualités difficilement mesurables qui forgent le savoir-être des personnes.

On les oppose aux hard skills, ces compétences que l’on peut plus facilement mesurer : les diplômes, les compétences linguistiques, la maîtrise d’outils informatiques,…

Pour un poste, certains soft skills peuvent être nécessaires, primordiaux. Car avoir les bons diplômes est une chose, savoir travailler en équipe ou mener une réunion en est une autre. Et souvent, ce sont des compétences que l’on n’acquiert pas comme on obtient une certification. Cependant, ces compétences comportementales, une fois identifiées, peuvent être travaillées pour être approfondies.